Toujours en stop sur la 138, on continue à descendre le long du Saint-Laurent qui est passé du fleuve à la mer. À notre gauche la forêt est de moins en moins dense, les épinettes noires centenaires ne dépassent plus deux ou trois mètres de hauteur tandis que les lichens millénaires tapissent de vastes plaines rocailleuses. Sur les rivières à saumons on aperçoit quelques chalets éparses. Les villages se font rares. Mais l'accueil y est toujours incroyablement généreux. Petite pause contemplative à Baie-Johan-Beetz chez Michel et Marie-Brigitte.
Une belle nuit au chaud dans la yourte.
Le premier orignal de Michel.
Le "château" de Baie-Johan-Beetz.
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